Publié dans Culture

35 ans de carrière sur la platine - Le DJ Dina dans nos murs

Publié le mardi, 21 mai 2024

Il s'est pleinement fait attendre auprès de ses fans. Ça y est, l’un des patriarches du monde du DJ, surnommé DJ Dina, résidant en France, est de passage dans la Grande île. Il est arrivé hier matin. Il est parmi nous pour une grande tournée, dans le cadre de la célébration de ses 35 ans de service musicale en tant que Disk Joker. En effet, chaque année, depuis 2022, il choisit d’effectuer un retour au bercail. Depuis son passage très remarqué et plein de succès en 2023, à la demande de nombreux fans, l’artiste est de retour au pays natal, et cette fois-ci pour fêter ses 35 années de carrière en tant que DJ. Pour l’occasion, il fera sa rentrée dans la Capitale. Il sera attendu ce vendredi 24 mai à partir de 20h à l’O2 Lounge Bar, situé au Centell Hotel, Antanimena. Et le lendemain, il enflammera la ville d’eaux. Pour la suite du programme, il visitera la cité des fleurs, Toliara et d’autres grandes villes de Madagascar. 

A l’annonce de cette grande nouvelle, de nombreux adulateurs du DJ attendent ce grand moment. Il faut savoir que DJ Dina est en éternelle tournée. Son programme est toujours bien chargé. Chaque week-end, il anime toujours des fêtes ou encore des soirées privées dans des grandes villes d’Europe. Les détails ne sont pas encore dévoilés en ce qui concerne sa production lorsqu’il enflammera la piste de la Capitale. Mais vu ses prestations lors de son dernier passage au pays, il est prudent de s’attendre à un spectacle visuel doté d’éclairage époustouflant, compliqué et énergique et sans pareil. Une grande retrouvaille entre lui et tous ceux qui aiment ses mixes et ses œuvres. Chaque événement qu’il musicalise est une invitation au voyage en soi ou avec d’autres personnes, et cela, en se dirigeant vers d’autres horizons, en savourant des musiques d’hier et d’aujourd’hui, venant de Madagascar ou d’ailleurs. 

Pour ceux qui ne le connaissent pas encore, c’était depuis les années 90 que cet ambianceur a animé la piste de danse à travers ses mixages. En 2002, il avait été vice-champion de Madagascar de DJing. Puis, il fondait en 2004 l’école de DJ de Madagascar, le CDJ. D’une passion, il en a fait un métier. Plus tard, il s’est envolé vers la France et ne se contente pas seulement d’animer des soirées, mais a créé également une école de DJing pour en faire sa profession. En 2009, il participait à des « Master Class » avec 6 autres Dj confirmés de France. Il était également le DJ officiel durant le « Booking Paris Mix » qui avait eu lieu de 2017 à 2021. Actuellement, DJ Dina réside en France et organise des soirées dans un club moderne baptisé « New Del’s Club », situé en Hexagone.

 

Si.R

Fil infos

  • Akamasoa - Une école inaugurée par les Présidents malgache et slovène  
  • Fuite d’informations  - La CENI condamne la convocation de son 1er vice-président par la cybercriminalité  
  • Centre Akamasoa - La Présidente de la Slovénie rend hommage au Père Pedro
  • Sahara marocain - " L’initiative du Maroc soutenue par le Royaume- Uni"
  • Visite d’Etat - La Slovénie veut être un partenaire actif de Madagascar
  • Fête de l’indépendance - Le Président appelle les citoyens à hisser le drapeau national  
  • Campagne de dénigrement - Deux ministres dans le viseur d’un député
  • Actu-brèves
  • Route Toamasina-Foulpointe - Démarrage effectif de la réhabilitation
  • Dissensions internes - Le régime fragilisé 

La Une

Pub droite 1

Editorial

  • Lueur d’espoir !
    Tout n’est pas noir. Une source de lumière apparait à l’horizon. Et l’espoir est permis. En dépit des galères éternelles que la misère nous impose, que l’insécurité nous étreint et que la JIRAMA nous empoisonne tous les jours, une lueur d’espoir nous embaume le cœur. Tous les efforts sont mis en branle mais la misère persiste et signe. Avec un revenu mensuel moyen de 40 euros ou 43 dollars par habitant, de sources autorisées de la Banque mondiale, Madagasikara reste parmi les cinq pays les plus pauvres de la planète. A titre d’illustration, Rwanda 76 dollars, France 3482 euros. Comparaison n’est pas raison mais les chiffres sont là. Ils évoquent certaines situations comparatives indéniables. Les insuffisances chroniques alimentaires surtout dans le grand Sud trahissent malgré les tentatives de certains responsables de relativiser le cas.

A bout portant

AutoDiff